Cette série rejoint la préoccupation d’inciter le « regardeur » à jouer avec la composition du tableau, préoccupation déjà amorcée avec les « Soirées », les boites à systèmes, les retables d’ « Aller-retour » et surtout le « Salon Noir ». Les « Désordres » proposent un triptyque dont chaque partie, gauche, milieu et droite, existe en plusieurs versions ; versions où évolue la lumière, la position des personnages et des objets. Des compositions changeantes et alternatives alors que le cadrage sur ce canapé d’atelier ne bouge pas.