La série des périphériques et celle des aéroports s’enlacent pendant quelques années à partir de 2002. Les vues du périphérique commencées quelques années plus tôt (1997/98), imposent l’orange de leurs lumières au sodium, la sinuosité des tunnels entrainant le regard dans une ellipse souterraine sans fin. Le bleu horizontal des aéroports vient comme un contrepoint, une émergence à l’air libre dont la complémentaire se violacera jusqu’au « Cobalt » qui donne son titre à la série des aéroports et des tarmacs achevée en 2008/09.